L’obésité est un problème de santé publique majeur aux États-Unis, où plus de la moitié des adultes sont en surpoids ou obèses. La perte de poids est souvent considérée comme un moyen de lutter contre l’obésité, mais est-ce vraiment efficace?
Selon une nouvelle étude, la perte de poids peut en fait être grossophobique, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner une stigmatisation sociale des personnes obèses. Les chercheurs ont examiné comment les gens réagissaient à des photos d’hommes et de femmes obèses avant et après une perte de poids significative. Ils ont constaté que les participants étaient plus susceptibles de juger les personnes obèses comme ayant moins de contrôle de soi, moins de volonté et moins de discipline après une perte de poids.
Ces résultats suggèrent que la perte de poids peut entraîner une grossophobie accrue, ce qui peut être un obstacle majeur à la lutte contre l’obésité.
Perte de poids et grossophobie : comment s’en sortir ?
Depuis plusieurs années, la perte de poids est perçue comme une obsession chez les femmes, notamment en raison de l’influence des médias. Cette pression peut conduire à un trouble du comportement alimentaire, mais aussi à une grossophobie, c’est-à-dire une peur excessive du gain de poids. Heureusement, il est possible de s’en sortir en prenant conscience de son corps et en acceptant ses formes.
Il n'y a pas de réponse définitive à cette question car tout le monde vit la perte de poids différemment. Certaines personnes peuvent se sentir plus à l'aise avec leur corps à un poids inférieur, tandis que d'autres peuvent se sentir plus à l'aise avec plus de poids. En fin de compte, la décision de combien de poids perdre et comment le perdre doit être prise en fonction de ce qui est le mieux pour l'individu.
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